Communiqué

Pour diffusion immédiate

 

[Nom de la ville hôte] accueille une exposition portant sur la grande épopée de la traite des fourrures

[Ville, (province), le XX mois 2011] — Les [résidants de la ville de X] ne voudront pas manquer l’exposition Profit et ambition – La traite des fourrures au Canada, 1779-1821 qui sera présentée [au/à /à la] [nom de l’établissement emprunteur] dès le [date].

L’exposition relate l’histoire de la Compagnie du Nord-Ouest, un consortium extraordinaire d’entrepreneurs montréalais, d’explorateurs écossais, de voyageurs canadiens-français, de chasseurs de bison métis, de trappeurs autochtones et de « femmes du pays ». Ensemble, ils ont créé un empire commercial, ouvert de nouvelles routes sur tout le continent et jeté les bases du Canada tel que nous le connaissons aujourd'hui.

[Citation du directeur ou du conservateur en chef de l’établissement emprunteur]. [Suggestion : « Nous sommes très heureux de faire connaître ce récit épique où la chance, le risque et l’aventure ont tracé le chemin qui a mené le Canada vers l’expansion et le développement. »

Profit et ambition raconte la saga de la Compagnie du Nord-Ouest et dresse un portrait fascinant des pratiques commerciales impitoyables et du mode de vie exigeant de la traite des fourrures. L’exposition fait le récit de la concurrence féroce que se sont livrée, dès 1779, le consortium de Montréal, la Compagnie du Nord-Ouest et la Compagnie de la Baie d’Hudson, dont le siège social était à Londres (Angleterre).

La Compagnie de la Baie d’Hudson dominait alors le commerce canadien des fourrures depuis plus de 100 ans. Elle faisait des affaires dans des postes de traite établis sur les rives de la baie d’Hudson, laquelle lui offrait un accès maritime direct vers l’Europe. Pour rivaliser, la Compagnie du Nord-Ouest ouvrit de nouvelles routes d’échange au sud, rejoignant les trappeurs autochtones en route vers la baie d’Hudson, et n’hésita pas à se montrer impitoyable. Il a suffi à la Compagnie du Nord-Ouest d’un peu plus de 15 ans pour s’emparer de près de 80 pour cent du commerce des fourrures au pays. Mais cette concurrence, coûteuse pour les deux entreprises, entraîna finalement leur fusion.

Que pourra-t-on y voir?
Profit et ambition regroupe quelque 90 artefacts, répliques d’objets anciens et œuvres d’art. Parmi les nombreux objets remarquables figurent des articles de commerce – tels des mousquets, des outils en métal, des bijoux et des ornements – et des vêtements autochtones et européens. De nombreux objets exposés datent de la fin des années 1700. L’exposition présente aussi des documents originaux de la Compagnie du Nord-Ouest dont des contrats de voyageurs.

Parmi les œuvres d’art présentées, on trouve des peintures de Frances Anne Hopkins, une Anglaise étonnante qui a voyagé avec son mari en canot rabaska au milieu des années 1800 et immortalisé des scènes du commerce des fourrures.

La plupart des artefacts sont tirés des collections du Musée canadien des civilisations, mais certains d’entre eux proviennent du Musée canadien de la guerre, de Bibliothèque et Archives Canada, des Archives de la Compagnie de la Baie d’Hudson, de Parcs Canada et du Musée de la civilisation à Québec.

Profit et ambition – La traite des fourrures au Canada, 1779-1821 a déjà été vue par plus de 100 000 personnes alors qu’elle était présentée au Musée canadien des civilisations, à Gatineau (Québec), de septembre 2009 à février 2011.

Rappelons que Profit et ambition – La traite des fourrures au Canada, 1779-1821 sera présentée [au/à /à la] [nom de l’établissement emprunteur], du [date] à [date].

[PARAGRAPHE SUR L’ÉTABLISSEMENT HÔTE]

Le Musée canadien des civilisations est l’institution culturelle la plus vaste et la plus populaire du Canada, attirant plus de 1,2 million de visiteurs chaque année. Le rôle principal du Musée des civilisations consiste à préserver et à faire connaître le patrimoine du Canada, contribuant ainsi à promouvoir et à renforcer l’identité canadienne. Le Musée abrite également le Musée canadien de la poste et le Musée canadien des enfants. Le Musée canadien des civilisations est un centre voué à la recherche et à l’information publique sur l’histoire sociale et humaine du pays.

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Renseignements (médias) :

 

 

 

 

 



Canada wordmarkDate de création : le 16 février 2011