COMMUNIQUÉ

Pour diffusion immédiate

 

 

De l’art populaire canadien fait souffler un vent de fraîcheur au [musée qui présente l’exposition]

 

[Ville], [date] — Le [musée qui présente l’exposition] est fier d’annoncer l’ouverture de l’exposition Vent qui joue, vent qui peine Girouettes et vire-vents, une présentation très « animée » du Musée canadien des civilisations, de Gatineau (Québec).

 

« Nous avons le plaisir d’exposer, ici au [musée qui présente l’exposition], plus de 30 de ces merveilleux dispositifs animés par le vent qui proviennent de notre riche collection d’art populaire », a déclaré Victor Rabinovitch, président de la Société du Musée canadien des civilisations. « Autrefois qualifié de façon péjorative de primitif ou de naïf, l’art populaire canadien est depuis longtemps reconnu comme art à part entière. Nous sommes fiers de présenter ces objets qui témoignent de la fantaisie, de l’humour et de la créativité de Canadiens ordinaires, d’un océan à l’autre. » 

 

Depuis des siècles, les girouettes font partie du paysage en Europe comme en Amérique du Nord. On les trouve perchées sur les plus hauts bâtiments de chaque collectivité – les toits, les églises et les tours de châteaux. Beaucoup sont aujourd’hui devenues le symbole même de l’art populaire.


La plupart des gens savent que les girouettes ont pour fonction de révéler la direction du vent. Ce que l’on sait moins, cependant, c’est que la direction du vent permet aussi de prévoir le temps qu’il fera. « J’ai toujours aimé les vieilles girouettes, mais j’ignorais à quoi elles servaient réellement », admet Sheldon Posen, conservateur de folklore canadien au Musée des civilisations. « En fait, elles sont bien plus que de jolis indicateurs de direction! »

 

Les vire-vents, au contraire, n’ont d’autre fonction que d’amuser et d’intriguer. Ces ornements de jardin, qui captent l’énergie éolienne, présentent en général un assemblage de figurines. Une fois installés à l’extérieur, ces personnages s’animent de mouvements frénétiques et incessants… qui ne produisent rien.


L’exposition Vent qui joue, vent qui peine a d’abord été présentée à l’aéroport international Pearson de Toronto, Terminal 1, salle 120, du 7 mars au 11 juin 2008, où elle a révélé aux Canadiens et aux visiteurs du monde entier divers aspects de la société canadienne, de sa culture et de son histoire.

 

L’exposition sera présentée au [musée qui présente l’exposition] à partir du [date de présentation].

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