COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate
De l’art populaire canadien fait souffler un vent de fraîcheur au [musée qui présente l’exposition]
[Ville], [date] — Le [musée qui présente l’exposition] est fier d’annoncer l’ouverture de l’exposition Vent qui joue, vent qui peine – Girouettes et vire-vents, une présentation très « animée » du Musée canadien des civilisations, de Gatineau (Québec).
« Nous avons le plaisir d’exposer, ici au [musée qui présente l’exposition], plus de 30 de ces merveilleux dispositifs animés par le vent qui proviennent de notre riche collection d’art populaire », a déclaré Victor Rabinovitch, président de la Société du Musée canadien des civilisations. « Autrefois qualifié de façon péjorative de primitif ou de naïf, l’art populaire canadien est depuis longtemps reconnu comme art à part entière. Nous sommes fiers de présenter ces objets qui témoignent de la fantaisie, de l’humour et de la créativité de Canadiens ordinaires, d’un océan à l’autre. »
Depuis des siècles, les girouettes font partie du paysage en Europe comme en Amérique du Nord. On les trouve perchées sur les plus hauts bâtiments de chaque collectivité – les toits, les églises et les tours de châteaux. Beaucoup sont aujourd’hui devenues le symbole même de l’art populaire.
Les vire-vents, au contraire, n’ont d’autre fonction que d’amuser et d’intriguer. Ces ornements de jardin, qui captent l’énergie éolienne, présentent en général un assemblage de figurines. Une fois installés à l’extérieur, ces personnages s’animent de mouvements frénétiques et incessants… qui ne produisent rien.
L’exposition sera présentée au [musée qui présente l’exposition] à partir du [date de présentation]. – 30 –
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Date de création : 20 juillet 2010